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« Grand Paris » : l’Ile-de-France défigurée ?
03/03/2010 19:12
Alors que la campagne de Valérie Pécresse est en pleine déconfiture, le masque est tombé hier, à la faveur d’une réunion de « recadrage » à l’Elysée, assortie de la parution d’un long texte du président de la République sur son projet de «Grand Paris».
C’était dans l’ordre des choses : comment convaincre qu’un Conseil régional aux couleurs de l’UMP aurait engagé, dès le 21 mars prochain, les politiques nécessaires pour réparer les RER et les routes, alors qu’il est prisonnier d’une « grande vision » présidentielle qui va siphonner l’ensemble des financements publics au profit d’un aménagement délirant de l’Ile-de-France ?
Le « Grand Paris », justement, revenons-y un instant puisque c’est en réalité ce que promet l’UMP aux habitants de la région parisienne…
Dans son entretien au très confidentiel L’architecture d’aujourd’hui, le chef de l’Etat décrit une perspective qui fait froid dans le dos. Je le cite : « Il faut ajouter des étages aux immeubles, construire des nouvelles tours ou même simplement recoller les maisons les unes aux autres. » Le tissu pavillonnaire, le petit jardin, la douceur de vivre, voilà l’ennemi ! Les sages restrictions qui empêchent l’élévation excessive des immeubles à Paris (et qui, soit dit en passant, contribuent fortement au charme de la « Ville lumière », première destination touristique au monde), sont montrées du doigt, stigmatisées comme autant de choix rétrogrades, incompatibles avec la triomphale modernité que revendique à tout bout de champ Nicolas Sarkozy.
Des tours géantes, des immeubles rehaussés partout dans la capitale, un centre commercial géant dans un arrondissement du nord-est qui n’aura sans doute rien à envier aux verrues que constituent le forum des Halles et le centre commercial Montparnasse, le Paris villageois qui tient tant au cœur de ses amoureux, noyé dans une mare de béton et de poutrelles d’acier ! Bref, La Défense qui aurait englouti Paris !
Sans doute le maire de Paris sera-t-il ravi, lui qui défend avec constance depuis 2001 une politique de construction de tours géantes, officiellement pour favoriser la création de nouveaux logements…
Mais où est donc la modernité dans cette démarche présidentielle ? On peine à la trouver, tant elle ressemble aux pires erreurs d’urbanisme des années 60 et 70, dont on ne finit plus de gérer, bon an mal an, les effets pervers de toute nature.
Les électeurs de la majorité, les Français d’une manière générale, quelle que soit leur étiquette politique lorsqu’ils en ont une, peuvent-ils admettre ce projet fou, peuvent-ils laisser la voie ouverte à cette capitale et à cette Ile-de-France défigurées ?
Non, bien sûr ! C’est bien pourquoi je me tourne vers eux, vers tous les électeurs franciliens qui veulent voter comme vers ceux qui se résignent, hélas, à l’abstention : l’enjeu de ces élections régionales est bien plus important que vous ne le croyez !
Debout la République vous offre le seul vrai rempart contre la folie des grandeurs de l’UMP et le ronronnement complaisant d’un PS plus ou moins prisonnier de ses alliés Verts.
NDA
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Europe Ecologie plus obscur et technocratique que moi, tu meurs
03/03/2010 19:03
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Europe Ecologie, c’est beau, c’est neuf, c’est moderne, forcément !
Pourtant, nous y voyons une double imposture, sur le fond d’abord, sur la forme ensuite.
Nous ne reviendrons pas sur le fond.
Comme nous l’avons déjà expliqué, les Verts d’Europe Ecologie sont des écologistes d’opérette en refusant de remettre en question le fondement de la pollution mondiale : le libre-échange généralisé. C’est bien parce qu’on produit à 10 000 km ce qu’on consomme ici que les rejets de gaz à effet de serre explosent, notamment du fait des transports, première source de CO2. La pollution est fille du mondialisme, cette idéologie qui refuse les frontières, et qui voit le monde comme un vaste supermarché : d’un côté ceux qui vendent, de l’autre ceux qui achètent (tant qu’il leur reste un peu d’argent pour acheter en tout cas…). Pour clore ce premier point, rappelons que les Verts sont les premiers défenseurs de l’Europe de Bruxelles, machine à fabriquer du libre-échange.
Mais Europe Ecologie, c’est aussi une imposture sur la forme.
Faites ce petit test et jugez vous-même du conditionnement médiatique dont nous sommes tous victimes : pensez à « Europe Ecologie » et notez les images qui vous viennent spontanément. Des choses plutôt positives non ? Europe Ecologie, c’est plutôt jeune, dynamique et moderne, non ? Forcément, puisque c’est écolo, et même européen, c’est écrit dans le nom !…
On retombe déjà un peu sur terre lorsqu’on se souvient que la locomotive médiatique de ce nouveau parti est Daniel Cohn Bendit, au sommet de sa gloire il y a 42 ans, symbole de la dérive de toute une génération passée en quelques années du marxisme et la lutte des classes à l’eurolibéralisme et la promotion du bobo en vélib’…
Nous nous sommes livrés à un exercice plus édifiant encore : regarder dans le texte le programme d’Europe Ecologie pour les régionales.
Nous n’avons pas été déçus ! L’imposture est là encore manifeste. Derrière la façade verte et attrayante, Europe Ecologie sent bon la naphtaline technocratique, froide et obscure…Les Verts, ne serait-ce pas d’abord de vieux messieurs tout gris derrière leur ordinateur ? A lire leur programme, c’est bien ce qu’on peut imaginer. Jugez vous-même :
- « Des schémas directeurs régionaux de l’écologie sont nécessaires. Nous sommes favorables à une forme décentralisée d’organisation écologique des territoires. »
- « La transformation écologique de l’économie au niveau industriel, agricole et tertiaire suppose de penser la conversion des filières au niveau du bassin d’emploi et de vie régional. »
- « Vivre mieux et vivre ensemble, c’est vivre en toute liberté dans le respect et la confiance mutuelle (…) l’accumulation de ces maux urbains génère une « mal-vie » qui débouche souvent sur la peur de l’autre, du voisin, de l’étranger qu’on côtoie mais ne voit pas. »
- Et pour y répondre, la solution techno par excellence : la fameuse « table ronde » : « Pour la définition et la mise en œuvre de ce Pacte de solidarité, nous proposons la convocation de Tables Rondes régionales, espace de rencontre et de dialogue entre associations de quartier, travailleurs sociaux, formateurs et enseignants, entrepreneurs locaux, représentants de l’autorité publique, etc. »
- « Il s’agit d’identifier et mettre en contexte toutes les parties prenantes des politiques publiques, y compris l’environnement, et d’assurer que toutes les responsabilités politiques et économiques soient assumées, et non diluées. »
Nous aurions pu multiplier les exemples. Y voyez-vous clair ? Nous pas vraiment…
Pourquoi, dès qu’il s’agit des idées, Europe Ecologie se cache-t-il derrière le langage technocratique, nécessairement creux et obscur ? Est-ce pour masquer l’absence de ligne politique tranchée, au-delà d’un discours consensuel sur l’environnement ?
Plus on est dans le techno, et plus on s’éloigne de la politique et des choix idéologiques nécessaires à l’exercice de la démocratie. C’est peut-être précisément ce que visent les Verts d’Europe Ecologie : éviter de devoir se confronter à la réalité politique, et poursuivre dans l’imprécation environnementale pour enfumer les électeurs
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Régionales : une campagne de caniveau
03/03/2010 18:30
Concours de boules puantes
Les socialistes avaient commencé assez fort avec la photo prise par la première adjointe au maire de Paris de la ministre de l’enseignement supérieur et postée sur Internet fin décembre. Cette polémique ridicule présageait malheureusement bien de la suite. En effet, nous avons eu droit au feuilleton Frêche en Languedoc-Roussillon, où, parce qu’il s’est attaqué à Laurent Fabius, la direction du PS a décidé que la ligne rouge était franchie et de présenter une liste contre lui.
PS – UMP : zéro partout
Je n’avais pas spécialement l’intention de parler de cette écume de la campagne, mais la répétition des faits a au moins le mérite de montrer à nouveau la proximité de fonctionnement du PS et de l’UMP et d’illustrer à quel point les deux partis dominants de la vie politique Française se ressemblent, souvent uniquement pour le pire. Incapables de proposer des programmes véritablement différents, ces partis de notables souhaitent uniquement acquérir des postes pour leurs affidés.
Laurent Pinsolle
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Drôles d’écolos !
02/03/2010 18:47
Les écologistes tendance Verts se sentent pousser des ailes, portés par le contexte d’inquiétude qui travaille l’opinion publique, notamment à propos du réchauffement climatique et de la nécessité du développement durable.
Pourtant, avec ces idéologues issus des communautés « baba-cool » des années 70, l’imposture n’est jamais loin.
C’est ce que je constate au quotidien dans la Région Ile-de-France, où les méfaits de l’idéologie verte sont hélas légion. C’est notamment pour en dénoncer les conséquences néfastes en matière de déplacements, que j’ai rallié quelques étapes symboles de la région parisienne aujourd’hui.
Effectué avec Jean-Claude Delarue, président de la Fédération des Usagers des Transports et des Services Publics à qui il ne faut pas en conter, ce « tour des vertitudes » a permis de mettre en évidence tout le caractère pernicieux de ce discours qui va tellement loin dans ses dogmes qu’il aboutit concrètement… au contraire de ce qu’il prétend prôner ! Ainsi, en refusant de réaliser les investissements routiers indispensables en petite et grande couronnes par haine de la voiture, les Verts alliés au PS à la tête de la Région sont responsables de 200 km de bouchons quotidiens, matin et soir, qui causent une très importante pollution atmosphérique.
Mais ce n’est pas tout. Comme pour enfoncer le clou, le hasard du calendrier a voulu que la Commission de Bruxelles annonce aujourd’hui de nouvelles autorisations de commercialisation d’OGM (pomme de terre BASF OGM, semences de maïs Monsanto). Prenant prétexte de l’avis conforme de l’Agence européenne de sécurité des aliments (AESA) - un vivier de « spécialistes » qui, une fois achevée leur mission en son sein, rejoignent comme par hasard ou par enchantement les grandes enseignes de l’industrie OGM… -, Bruxelles a pu contourner la résistance de nombreux Etats, dont la France, faisant valoir le principe de précaution, en vertu de la procédure dite de « comitologie » qui permet aux eurocrates, sur certains dossiers, de décider à la place de tout le monde en l’absence de consensus des pays membres.
Bien sûr, aussitôt connue, cette décision a été vertement décriée par Cécile Duflot et Corinne Lepage, officiellement hostiles aux OGM. Pourtant, ce sont les mêmes qui avaient voté des deux mains pour le traité de Lisbonne, lequel aggrave dramatiquement les pouvoirs autonomes de la Commission de Bruxelles, dont… la comitologie ! On peut ainsi dire que ces drôles d’écolos ont récolté ce qu’ils ont semé par amour immodéré de l’Union européenne. Comprenne qui pourra… Et puis, me direz-vous, entre Daniel Cohn-Bendit qui plaide à fond pour le péage urbain à Paris (normal, ses proches sont tous des bobos parisiens), et la chef de file des Verts en IDF qui affirme en rejeter totalement l’idée, ces drôles d’écolos n’en sont plus à une contradiction près.
Le problème reste pourtant que ces « drôles d’écolos » ne font pas rire du tout lorsqu’ils provoquent des bouchons et facilitent les autorisations d’OGM en Europe.
Une solution ? Ne pas se tromper de bulletin de vote le 14 mars et ne pas apporter de soutien à cette imposture idéologique verdâtre !
NDA
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Réunion - Débat pour les Régionales 2010
01/03/2010 18:17
L'Association pour Bapaume proposera un débat à la salle des fêtes de Bapaume, à 20 h. Six candidats seront présents : Jacky Hénin (pour le Front de gauche) et Catherine Génisson (PS-MRC-PRG). Philippe Rapeneau (UMP, Nouveau Centre) complète la liste, ainsi que Marc Desramaut (MoDem) et Jean-Louis Robillard (Europe Écologie), et Steeve Briois (FN).
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